RESTAURANTS
Le Bouche à Oreille
Guide de Restaurants
Depuis 1990 sur le guide papier trimestriel et depuis l’an 2000 sur le site, nous partageons nos expériences de tables sur la région Provence et un peu ailleurs:
Nous supprimons les critiques du site qui sentent un peu trop le faisandé à notre goût. Pour lire ces anciennes critiques, vous pouvez consulter l’historique des PDF disponibles en ligne à partir de septembre 2006 (BAO 59) .
LES ARCHIVES DU BAO
LE SAN REMO
Préposé au bar, le serveur en catogan du début confirmera tout le service l’élégance notée à notre arrivée en soutenant son collègue dépassé en salle! La grande classe! Ça non plus du jamais vu! Bref! A notre table le serveur embrouillé prend notre commande. En parallèle des pizzas: assiette-repas, entrecôte, burgers, pavé de saumon sauce vierge, pâtes aux gambas, daube de poulpe et seiche, et involtini traduisible par petits roulés. Souvent du veau, ici escalope de poulet avec mozza et peut-être de la coppa.
AU PETIT RESTO

L’idée du jour: steak d’espadon au beurre blanc. C’est avec lui que j’ai pigé le cuisinier. Sauce façon Larousse culinaire et poisson souple en coupe épaisse, soutien de riz basmati blanc simple et légumes frais laqués.
LES RESTANQUES DU THORONET HOSTELLERIE DE L’ABBAYE
La souris d’agneau. Enorme le bestiau! Dressé sur sa patte arrière! Viande correcte, confite. Purée de panais, ratatouille trop fermentée qui pousse sur l’ail macéré, forcément. J’ai beau être d’un naturel curieux, j’ai décliné le dessert gâteau carottes.
LA FRINGALE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ESCALE
Vous pouvez pas savoir comme j’étais content: assiette chauffée! Tandis que des gastros chichiteux et poseurs ne le font pas, une brasserie de village si! Timbale de riz blanc simple, petit bol de salade verte (fraiche, pas du sachet) pour ne pas qu’elle trempe dans la sauce (bravo), 8 crevettes correctes, des cubes d’ananas en boite et une sauce jaune pas équilibrée, infiniment trop sucrée.
CHEZ MARCELLO
Terrasse ou salle, d’ailleurs joliment apprêtée pour faire rêver le chaland romantique en l’attente de spécialités italiennes, ils aiment ça les spécialités italiennes, les gens. Des pizzas, 3 entrées, 3 salades, 7 plats de 15,5€ à 20,5€ sans compter les deux plats du jour: bavette 18,50€ (boing) et cuisse de lapin 18,50€ (paf).
Ô GRAND R
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE MILAZZO

Mes petits gondoliers chéris, jubilons sans entrave! Véritable recette sans lardons, ni champignons ni crème: œuf, pecorino, guanciale (joue de cochon séchée). Du maousse de la pasta à déguster chaud! 15/20. Ma salade de fruits est fraiche du jour et parfaite de simplicité, 14/20. Tandis que le « tiramisu » régale la Castafiore au chapeau vert. Un vrai!
L’ALTERNATIVE
Elle annonce le brunch du samedi pour les lève-tard, des desserts pour le gouter des enfants qui seront meilleurs que les biscuits industriels, des planches de charcuterie et fromage non sectaires avec peut-être du Saint-Nectaire, une formule du midi à 12,50€… moins 1€ pour les étudiants. Les vieux payent donc plus cher.
LA CABANE
un poêlon à paella avec une soupe de poisson pas maison mais toutefois correcte (j’ai vu tellement pire). Dedans, deux énormes gambas non décortiquées et trop cuites. 5 moules. Une petite darne de lotte. Une patate coupée en deux avec peau. Peau qui détachée dans la soupe est d’une élégance folle. Bref. 20€ le machin malgré une rouille chaude pimentée et peu aillée (tant mieux) pas faite ici et recouverte maladroitement par des croutons dans le ramequin, plouf-plouf.
L’ATELIER
Que vais-je manger? Pizza? Salade? Tartare? Une dizaine de pâtes cuisinées possibles. D’abord un antipasti: jambon cru roulé à la mozzarella. Pour 5€, qu’est-ce que je risque? D’être déçu… gagné! Des bouts d’un jambon cru de bonne composition avec des cubes de mozzarella en carton de l’acabit de celles que la plupart des pizzaiolos mettent sur les pizzas en chantant laisse les gondoles à Venise de Ringo et Sheila. Fondu, c’est presque acceptable mais sorti du tube, c’est infect.
LA TABLE SOUS L’ARBRE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA BOHÈME

Dans sa cuisine ouverte où vous pouvez lui faire coucou en passant, il invente. Recettes qui chantent le sud et la Provence, son terroir. Vrai que plein de restaurants le disent aussi. Sauf qu’ici, c’est vrai et que les idées de recettes sortent du commun avec des élans de raffinement: asperges blanches, oignons confits et œuf poché. Samoussa figues, chèvre et noix.
L’ORIGINE
Lui est à l’étage d’un bâtiment contemporain récent. Salle claire pas très grande avec mezzanine mais la terrasse double, à l’aise Blaise. Je suis resté planté dans l’entrée une minute: personne à l’accueil, de clients non plus. C’est long, une minute debout au milieu du silence mes agneaux. Puis une dame sort, qui sourit, un peu.
L’ANNEXE
Quelques suggestions de situation comme des pâtes, un tartare et l’inévitable burger. Le service juvénile est volontaire, souriant: tout est fait maison répète t’il en boucle, suivant probablement les consignes marketing d’un patron qui fait la tronche calé derrière le bar devant son tiroir-caisse. L’encaissement est une chose très sérieuse.
ON AIME
Quel est le poisson du poisson au caramel? demande-je avec la naïveté dont je sais faire preuve quand la situation l’exige. Le monsieur manque de s’étouffer, bafouille un vague mot puis va demander à la cuisinière. Il revient: du panga. Sitôt arrivée à mes oreilles, la noble ambition de qualité tombe à l’eau.
LE CHADIYO

En cuisine depuis plus de 10 ans (et passée chez le voisin Mas du Soleil) Audrey Guillot tient le couteau-éplucheur et imagine ses idées fraîches. A l’accueil en binôme Emilie Diperi gère, accueille et sourit: la responsabilité de brasseries à la capitale est formateur.
LA POÊLE D’OR

Belle intonation du filet de canette, jus de cerises griottes, fine purée de panais et fricassée de petit épeautre. Comme un magret, viande surveillée de la cuisson, tendre et savoureuse. Sauce sucrée-salée où se vautrent les cuisiniers qui cherchent l’effet caricatural de mode plus que l’équilibre sur le fil.
LE PATIO

Ouah les gars: faut vous réveiller! Si vous habitez à moins de 20 kms à la ronde et que vous aimez bien manger, faut pas passer à côté de ce classique travaillé! Que dis-je 20 kms! 50 oui! Ou plus! Sûr qu’en sortant, vous n’aurez pas envie de vous taper un jambon-beurre! La portion sustente son homme!
LA TABLE DU COMMERCE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
JARDIN D’ASIE
…je file vers les nem thaï. Trois spécimens proprets et pas gras du tout. Contenu illisible et un peu terne, trop finement haché. La serveuse détaille: crevettes, vermicelle, cébette. Je la crois sur parole, pas le choix, pas de microscope.
CHEZ FLO
Option T-Bone de veau, jus de romarin à 22€. J’ai vu tarif plus élevé par ailleurs pour ce morceau de viande. Et moins bon: cuisson respectée, viande souple, jus court et naturel qui laque. Légumes à l’eau un peu tristes, n’inspire pas à la gourmandise mais au conformisme ascète et modeux des assiettes bio dans l’air du temps, des bouts: brocoli, demi-radis, deux rondelles de carotte, champignons shiitake en lamelle poêlés mais durs, une asperge entière croquante.
LA CARAVELLE
A la carte j’ai pris en direct agneau fermier de Riez (04) grillé, jus infusé à la provençale, pommes grenailles et légumes du jour. Rien pour se chatouiller la molaire et patienter, seuls les clients qui prennent un apéritif ont droit à la tapenade. Enfin bon. Ça arrive: belle assiette noire et dessus, non seulement le baron d’agneau prévu, mais le jeune serveur dit il vous a mis une côtelette en plus le chef!
LE MAS DE MEYREUIL GRILL 13
Le concept signe une forme d’abattage du client. Et des clients, y en a plein. Comme la 1ère fois. Je suis abasourdi. Ça vient au restaurant en couple, entre amis ou avec ses gosses et ça commande des frites et boit du coca sur 80% des tables. En plus, la plupart des tables bénéficient d’olives vertes pour patienter: moi non.
RESTAURANT L’ENTRE 2
…un bar à tapas ou assimilés. Notez bien que je n’ai rien contre le genre, les classifications m’ennuient. Mais là, faut pas pousser. Bouteilles alignées, ardoise avec quelques cocktails et autres boissons, autre ardoise d’un mur entier avec des tapas et des plats comme camembert farci, des tartares, des salades et des burgers. Point de vue calorique, c’est l’Etna.
AUBERGE DU CAMP
je commande la formule du jour vendue 14€ avec un « sauté de veau ». Ça ira bien. Pour patienter, la dame amène des vieux feuilletés rances à l’anchois. C’est gentil, fallait pas. Et puis le sauté: il est vraiment très mauvais. Il trempe dans une sauce rouge-orange surchargée en fond en poudre et en rondelles de carottes molles à force de multi-réchauffage. Le gratin dauphinois est cuit à l’eau, on se croirait dans un centre curiste.
LA SYMPHONIE DES PLAISIRS

Du soin, de la propreté. Depuis décembre 2017: un couple de quadras sourires plein phare dans leur maison. Parait que les gens heureux n’ont pas d’histoire. Sornettes: ces deux-là construisent l’histoire au quotidien sauf le lundi: jour de fermeture.
VIN’OLIVE
On m’installe en terrasse face au panorama mais aussi, face au vent et à un set de table avec serviette en papier. Fait pas beau. Rafales dans le pif, chuis pas bien. Je change de place après autorisation obtenue auprès de la direction. Vu la météo, j’aurais bien mangé dans la salle: fallait me demander qu’elle me dit la dame!
CHEZ LINH
Simiane, on ne va pas souvent s’y poser le dentier. Vu le sobriquet, on pourrait croire à une stricte cuisine asiatique. Mais non. La cuisine est plutôt du genre hybride. Comme une Toyota à la fois énergie nucléaire et énergie fossile, si vous voulez. Plats français en majorité et seulement 3 plats asiatiques.
44 RESTAURANT
On a connu le lieu repensé plus sombre, il est désormais exploité au mieux pour séduire les mirettes. Autrefois tourné vers l’intérieur malgré les ouvertures et la hauteur de plafond, les proportions sont désormais ouvertes sur l’extérieur et valorisées au mieux. Bref! Changement de nom pour les ex Échevins.
LA TABLE D’ANDRÉA
Assez idéal pour l’épuisé de la route: parking ombragé, entrée avec terrasse verdoyante agrémentée de deux parasols Miko rouges. Une fois dedans, ya un môssieur genre animateur Club Méd qui fait beaucoup de bruit et beaucoup de gestes comme si j’étais un taureau: voilà voilà vous vous mettez où vous voulez mais seulement là, là ou là.
RESTAURANT L’OSMOSE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA TABLE RONDE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LOU PETOULET

Extraits de la carte du moment: fleur de courgette au rouget, bisque de favouilles. Croustillant de gambas, basilic et poivron rouge. Queue de langouste au pistou. Filet de bœuf sauce vierge et condiments. Le menu à 34€ est un modèle de générosité raffinée, en dessous de la logique tarifaire supposée d’un tel lieu…
ROUGE GUINGUETTE

Sa maison (mal indiquée) est à l’écart du centre-village, une douce terrasse-pergola ombragée aux beaux-jours avec cuisine au feu de bois devant vos mirettes ébahies. Chaleureuse salle prévue pour être heureux: tables bistrotières, chaises et mobilier chiné, ambiance de caractère avec exposition avisée de flacons qui vous sautent au goulot pour peu que vous ayez la curiosité œnologique en alerte.
UN TY COIN DE PARADIS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA CITADELLE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
CÔTÉ-RESTO
Le jovial patron déroule en salle en toute bonhommie, madame aide le fiston en cuisine. Trois ou quatre entrées de 9€ à 16€, autant de plats de 17€ à 19€ et 4 desserts plus doux en tarifs: 5,5€. Rien de révolutionnaire dans les recettes: 2 salades, gaspacho andalou, foie gras au pain d’épices maison, tartare de bœuf, suprême de volaille, entrecôte
L’ARC EN CIEL
Plus personne dans l’estanco, mais il ne m’étonnerait pas que les ouvriers du coin, les routiers de passage, les VRP encravatés, les retraités qui ne savent pas cuisiner profitent régulièrement de l’aubaine! Cela dit, faut voir ce qu’il y a dans le ventre, ce menu! Pas de pot Roméo, il est presque 14h. L’accueillante patronne avoue ne plus avoir grand-chose en rayon vu l’heure avancée, mais tient à me faire plaisir!
AU CHINEUR
L’adresse aguiche, la concurrence est rude. Pas encore entré qu’on cherche à vous séduire: verrière à l’ancienne, tables en pieds de machine à coudre Singer de l’âge de Mauricette, chaises en pure tôle ou bistrot en bois simple, plaques émaillées de pub d’antan… chinées par le chineur. Moi, ça me touche quand on me dit avec le sourire: vous serez bien ici, pas de courant d’air.
LOU CAPÈU
Plat du jour et un menu-carte 25€ pas bête décliné en formules à 20€ ou 22€: socca, quiche provençale, soupe au pistou, gigot d’agneau, salade méditerranéenne… et pour la dame au chapeau vert la poêlée de seiches au pastis. Elle s’attendait à des seiches plus petites et surtout à une présentation moins indélicate: une grosse seiche débitée en 3 ou 4 steaks caoutchouteux.
AUX PIEDS DES ANGES
Le plat du jour n’étant pas affiché, faut demander. Club sandwich qu’on me dit. Si, c’est possible. Le reste: salades, assiette de charcuterie, camemberts, hamburger, gambas, tartare et… des cailles farcies sauce champignons. La serveuse précise à ma demande: farce à la chair à saucisse et poulet.
LE PONT DI VIN
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
IL CUOCO

Alors je suis entré à nouveau ici chez les nouveaux, un type a surgi de derrière le bar l’air sévère et sans sourire, j’ai cru que je lui avais mis un PV. J’ai été rassuré quand avec son doigt et toujours sans sourire, il a pointé la table où je devais m’asseoir. J’ai pas moufté.
DÉLICES DE L’ÉTOILE

Romantique comme tout collectionneur de la série Arlequin, je crois toujours à la possibilité de perle dans l’huitre, au génie inconnu, au strict talent en cuisine qui nie les codes coutumiers d’une communication rassurante pour le chaland. Bref! J’entre, donc.
LOU CLAVÈU
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
UN PETIT CABANON
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
A LA TABLE DE NICOLAS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA BALAGNE

On a pris des accras de morue pour deux, histoire de patienter pour la suite du repas dont on n’aurait voulu qu’elle n’arrive jamais. 8 boulettes frites pas maison décongelées, servies dans une assiette ronde, avec des bouts de tomates hors-saison, des feuilles d’endives noircies par le temps, un quart de citron découpé depuis un bon moment.
LA PETITE MAISON DE BRAS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
AUBERGE SAINTE-MARGUERITE

en légèreté: le filet de poisson du marché sur lit de poireaux sauce crustacée fait le boulot. Morceau de cabillaud un peu petit. Pas de poireau contrairement à la promesse. Mais des bouts de légumes cuits à la vapeur y compris les champignons, sans entrain. La patate râpée (rösti) est le seul moment vraiment gourmand de l’assiette.
LES GENS HEUREUX

Déjà qu’il pleuvait et que l’établissement était vide de clients, en plus le type n’est absolument pas enjoué, de cette tristesse blasée comme en voit parfois dans les séries scandinaves à la télé. Encore que j’ai connu autrefois un viking jovial. Bref! Pas du tout avenant avec le client.
LE BISTROT

je me frotte les coudes avec plein de dames qui cassent une croute en même temps que ma pomme. Même le svelte serveur arrive difficilement à se faufiler malgré un physique à l’opposé du mien, si vous voyez.
L’OUSTAOU
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LITTLE BOUI BOUI
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
MIKDO

quelques spécialités moins convenues pointent le nez: ramen au poulet ou aux gambas (soupe d’origine chinoise), omelette japonaise, et le rare shabu-shabu (sorte de fondue). Des woks, aussi.
SAPORI DI NAPOLI

Comme elle avait zieuté les vitrines, la dame au chapeau vert excitée comme une puce vise mozza panée. Un lit de mélange de salade écrasée par une sorte de galette marron à l’odeur de friture dure comme du plastique.
LA TABLE VERTE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’EFFET MÈRE

Comptoir amical, séparé d’une salle de restaurant fort joliment apprêtée. De l’extérieur, on imagine bien peu. Et puis l’ardoise: 3 entrées, 6 plats, 4 desserts. La dame au chapeau vert qui sourit peu choisit la souris d’agneau confite, polenta crémeuse.
LE MAICKY’S
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
CAFÉ DE LA POSTE

Tout le monde dit bonjour avec une timidité qu’on retrouve parfois lors du jour de la rentrée des classes, un peu emprunté, pas de rythme, pas encore d’automatisme. Quand j’y suis entré, nous étions 5 clients. 10 minutes après, une cinquantaine d’attablés se partageaient les tables, salle aux allures de brasserie fin de siècle, terrasse noyée sous un beau soleil de printemps alors que s’étalaient abondamment les jambes blanches des dames s’abandonnant aux rayons tandis que fusaient les regards insidieux des messieurs derrière les verres fumés de leurs lunettes peu discrètes.
RESTAURANT JUST N FRED

Avec l’exigeante Mauricette cette année, j’avais la rotule tremblotante et la bouche sèche: quid de la cuisine? Des tarifs? Bien sûr qu’on se souvient du jeune homme à l’accueil, passé par des adresses de haut-vol…
LE PARC CASINO PLEINAIR PARTOUCHE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ESCALE
Le taulier tient seul sa boutique, au four et au moulin comme on dit. Une sorte de Rémy Bricka. Et plus encore: il sert les pastis au comptoir, remet de l’ordre dans la petite assemblée dissipée qui regarde le tiercé à la télé.
ALADDIN
Mon couscous agneau est plutôt agréable, jus un peu lourd dans le genre sirupeux, légumes confits dedans, viande noble (petite souris) qui change du collier que j’adore mais pas à ce prix. Semoule dans les règles.
RESTAURANT ENTRE-NOUS

A peine 20 couverts dans une salle tirée à quatre épingles. Serviettes coton blanc pour la moustache, beaux verres pour déguster, chaises confortables pour l’arrière-train.
AU P’TIT COUVENT
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE PASCALOU
Salade de chèvre chaud, bouquet de crevettes, moules gratinées, pavé de saumon, gambas, fricassée de poulpe, seiches, vol au vent aux fruits de mer, moules frites… enfin bon: vous voyez le genre.
LE COMPTOIR DES PÊCHEURS
On n’a pas idée d’appeler un restaurant comptoir des pêcheurs à deux pas des vagues et ne proposer qu’une ardoise qui suinte de banalités affligeantes: camembert rôti, salade, plateau de charcuterie, entrecôte, hamburger.
D’UNE RIVE A L’AUTRE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
IL RISTORANTE LIBERTY LOLLI PALACE HÔTEL
Pour y avoir dormi (aussi), l’hôtel est confortable, fort propre… et devant la mer. Avoir si peu de places de parking pour autant de chambres est dommage, surtout qu’on vous en promet une au téléphone lors de la réservation.
RISTORANTE EQUIPE GABRY
Un peu la caricature idéale du restaurant familial italien. Un essentiel sans ostentation, chaises en bois des années 80, éclairage poussif de 10 ans de moins, couverts usés en alu des années 60, verres de cantine. Un bataillon de femmes œuvrent d’arrache-pied en cuisine au milieu d’un tas de poêles et casseroles, ce qui est toujours rassurant à voir.
LA P’TITE CRÊPERIE
Toute mignonette la petite adresse. J’ai à tort cru que ce restaurant de copines allait me sortir le grand jeu malgré l’accueil d’une jeune femme un peu sec et directif. Chuis un romantique. Et puis c’est si simple à faire, une bonne galette. Bien sûr vous me direz que tout est simple quand on sait le faire, y compris une galette. Ben oué.
MIRAGE
Contexte plagiste de Riviera italienne hors-saison, puisque Mauricette voulait voir la mer alors on a vu la mer. Mais je te préviens, je ne rentre pas à la maison sans avoir mangé une bonne pizza avant la frontière italienne au retour. La 1ère des taules rencontrées le long de la plage sera la bonne! Enfin: façon de parler! On ne se souvient pas vraiment avoir mangé une aussi mauvaise pizza.
L’ÉVEIL DU GOUT
C’est pratique le cromesquis. Tu le fais à ce que tu veux, avec ce qu’il te reste dans le frigo. Ici trois boulettes panées avec dedans comme de la rillette de porc molle, une sauce orange qui n’est pas un jus, des légumes frais trop cuits (mous), une purée de potiron, des cubes d’un gratin trop salé (et mou).
AU PRÉ LONG DINE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ATELIER TRAITEUR
Un coin boutique avec vitrine réfrigérée et des plats dans des barquettes. Pas rassurant. Plus loin, une marche pour atteindre le coin restaurant. Le patron est amical, presque jovial. L’ardoise: 4 entrées à 12€ dont salade de chèvre au basilic, soupe de poisson…
KASHMIR
22€ le plateau avec 8 misérables bricoles en duo: raita (yaourt aux tomates, concombre et cumin), pakora (beignets d’aubergine dans farine de pois chiche), onion bhaji (lamelle d’oignons frites en beignets), fisk pakora (beignets de poisson pois chiche), sheek kebab (viande de bœuf haché), lamb tikka (agneau mariné cuite au tandoori), chicken tikka (idem poulet)….
LE BISHOP
Carte longue qui s’éparpille un peu, 10 entrées, 15 plats. Hébé. Aujourd’hui vendredi c’est aïoli! 22€ la bête! Il est beau! J’ai tout vu! 2 personnes sur 3 le choisissent! Sauf que je n’avais pas envie d’ail: j’avais un rendez-vous important de proximité après le repas, c’est ma vie privée, ça ne vous regarde pas.
LE VIEUX FOUR
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE MAS BOTTERO
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
AUX 2 FONTAINES
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ÉVIDENCE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LES 3 BRASSEURS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE SAKÉ
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
RESTO DES ÎLES

Endroit cocasse, dans la pampa aubagnaise planquée derrière le musée de la Légion Étrangère. Ah ça: faut connaitre… Un parking cabossé non entretenu, une bicoque en hauteur avec terrasse probablement agréable l’été, et des escaliers pour y arriver. Bicoque n’est pas usurpé, canisses, vélum, boiserie: tout est fait pour qu’on se croit dans les iles…
BRASSERIE DES 4 CHEMINS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA COUPOLE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE BISTROT MARSEILLAIS
La façade rouge attire l’œil, la terrasse séduira du monde aux beaux jours. J’aime bien ce quartier de la ville, les Chartreux. Beaucoup de restaurants pour le midi, peu pour le soir. Voilà qui ravit les employés de bureau du coin, les banquiers en pause-midi, les retraités désœuvrés, et tous ceux qui passent vers midi sur le boulevard…
LES DÉLICES DE L’ORIENT
Cinq préparations sont possibles, dont une aux raisins et aux oignons. Mon tajine arrive fumant dans le récipient idoine. Il est même en ébullition sous mon nez, ce qui est peu délicat. Passe encore. Le bouillon bouillonnant est un bouillon probablement commun à tous les tajines, et qui présente la curieuse caractéristique d’être vert
LA PEQUENA BOQUERIA
Entre préfecture et Castellane, rue Edmond Rostand, entre Rome et Paradis, une histoire d’entre puisque cet établissement est à mon avis entre deux eaux. Vu le décorum et l’ambition affichés, je m’attendais à beaucoup mieux mais ça aurait pu être pire aussi. L’épicerie ibérique du début écarte désormais les coudes dans le local mitoyen transformé pour la cause…
LE CLAPOTIS
Me voilà immergé dans un fort joli restaurant en pleine lumière d’un soleil d’hiver rasant et ma foi, très agréable. Mais doté d’une sorte d’esprit de village gaulois, par opposition à la rigoureuse légion romaine. Ce que je veux dire, c’est un peu la pagaille point de vue organisation générale.
MATCHA
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
O’GRILL D’ASIE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE BISTRO DES FRÈRES
une brasserie sans prétention pour sustenter le travailleur de la zone comme le VRP de passage. Le plat du jour annoncé est loin d’être aguichant. Une cuisse de poulet avec des frites, pas de quoi s’exciter la bavette. Mais la carte est réfléchie et ne se prend pas le chou: 3 pâtes, 3 poissons, 3 viandes, 5 desserts.
LES TROIS MÂTS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE J’S BRASSERIE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ADRESSE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA REINE DE SABA
L’adresse vient (encore) d’être reprise comme disent mes chaussettes. J’avais justement l’estomac dans les talons, alors j’ai pensé que c’était une bonne occasion de manger au Mourillon. Plein d’informations multicolores en devanture, notamment la possibilité d’un buffet à volonté. Ce qui est une bonne idée pour faire le tour de la question de la cuisine éthiopienne et les poches d’une cuisine rare.
FRITERIE D’ANVERS
J’y suis entré comme s’il s’agissait d’un restaurant vu le souvenir d’un prédécesseur doué. Or nous sommes loin du compte. Un snack à peine amélioré avec tabourets, chaises et tables dans une rue du côté de la gare qu’on m’avait annoncé comme restaurant. Une banque réfrigérée avec un tas de produits en cours de décongélation: saucisse, fricadelle, brochettes diverses, beignets variés… que suis-je venu faire dans cette galère?
GOÛT THÉ II
Affichés: le redoutable blason du Collège Culinaire des compères Ducasse et Robuchon, le très usé-dépassé label Maitre-restaurateur, et l’autocollant TripAdvisor que la plupart des restaurateurs affichent fièrement jusqu’à qu’il se choppent un mauvais avis, maintenant ça suffit, y en a marre de ces gens qui sont pas du métier et qui donnent leur avis.
O BEAUVIN
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA RÔTISSERIE SAINT-VICTOR
Avant même d’avoir ôté ma parka de bûcheron roumain et d’être assis en me frottant les mains, un jeune homme m’agresse avec l’énergie de ses 20 ans en me demandant vous buvez quelque chose?. Comme dit Mauricette qui aime les choses bien faites: faut pas pousser mémé dans les orties.
LA NONNA D’ORO
Début janvier et pourtant, le port est animé et certaines terrasses sont bien remplies. Dans les rues derrière, c’est plus compliqué: la foule attire la foule. Et la vue mer attire la foule. Enfin bon. Puisqu’on m’avait signalé la reprise de cette adresse (ex-Romano) posée en bout de quai, fallait voir.
L’AUBERGE DE CORRENS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA CHANDELEUR
Tout petit, tout petit. Le petit bout de restaurant est une petite crêperie, avec un petit bout de comptoir derrière lequel un petit bout de femme s’agite dans sa toute petite cuisine. 12 ou 14 personnes peuvent y manger ensemble, si j’ai bien compté les chaises.
LE MILLÉSIME
J’y suis entré joyeux et débordant d’intentions positives, mais la grande télé à fond les manettes coupera vite le sifflet de mon entrain naturel. C’était un peu comme à la messe quand t’arrives quand cause le curé: je dérangeais. Faut dire que la direction et une table de leurs amis buvaient religieusement chaque image de l’enterrement d’un chanteur connu dont je tairais le nom pour ne pas refermer les portes du pénitencier.
LA GARE’GOTTE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
MAMMA LOVA TRATTORIA
Tous les éléments pour se glisser dans la Botte comme si on y était sont pourtant là: terrasse au calme comme à Florence, 16 places maxi à l’intérieur comme chez ma garnd-mère, charcuteries et fromages pendus aux plafonds pour la photo, une ardoise des vins, un tonique duo à l’œuvre avec la cuccina ouverte aux yeux du client
LE F
Jolie et refaite de frais, une boutique de charme. (presque) Seule à ouvrir ses portes ce midi du côté de La Capte, avec Mauricette, on apprécie l’ambiance bar soigné et le délicieux soleil rasant de décembre qui entre chatouiller le minois surpris de l’attablé ravi. Il est bien accueilli par le monsieur, l’attablé. Et Mauricette aussi.
LA VAGUE
Nombre d’établissements ferment hors-saison à Bandol. Ce jour de janvier, restait au bout du quai celui-ci, presque en face du Casino, cultivant l’art délicat de la polyvalence: brasserie-crêperie-glacier. Avec Mauricette, on est resté debout dans la salle si petite qu’on dénombrait autant de clients assis que d’employés.
LA LIBERTÉ
Centre-village, un restaurant rue de la République qui s’appelle La Liberté: ça avait de la gueule au milieu du casting des approximations culinaires locales. L’accueil m’a refroidi d’autant plus que j’y suis entré joyeusement complice de l’idée, Victor Hugo, Gandhi, Che Guevara, Jean Moulin, Robert Charlebois puisque quand les hommes vivront d’amour il n’y aura plus de misère et que les soldats seront troubadours.
BRASSERIE D3
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’OASIS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
PROVENCE PLAGE
Face aux vagues. Avant ça, faut faire le tour du bâtiment vide, arriver devant le bar, demander s’il est possible de manger un bout et là, on vous envoie devant la plage sous un vélum. Alors oui, le restaurant voisin est de même configuration. Sauf qu’il est rempli de clients, et ça papote, et ça chante même. Jamais si près n’aura paru si loin.
LE CABANON
Si vous y allez en parapente, visez La Valentine et puis c’est en face, de l’autre côté de l’Huveaune. Ya moins d’IKEA et de magasins de chaussures mais aussi, ça ressemble un peu moins à Disneyland et un peu plus à la vie normale. Vous voulez du rêve? Vous en aurez! La petite maison absolument pas dans la prairie est sur le boulevard de Saint-Marcel et bénéficie d’une terrasse pour les fumeurs.
RESTAURANT GARUDA
RESTAURANT GARUDA à Cogolin - Quand ce jour frais de décembre Mauricette a lu la formule du jour avec couscous sur l’ardoise devant l’entrée, elle s’est mise à chuinter le refrain de Al-Atlal de Oum Kalthoum tellement qu’elle était contente!
L’ANNEXE
L’ANNEXE restaurant à Saint-Raphaël - Pour tomber ici par exemple, plus d’habitués, de clients locaux. C’est mieux pour s’immerger dans un état d’esprit, pour comprendre le chaland local. Que je ne comprends toujours pas, pourtant. Car enfin: vous êtes accueilli avec vivacité puis placé dans la foulée avec le sourire. Mais après… vu le succès et la foule, c’est bruyant, mais la décoration est bien dans l’air du temps. J’ai eu le temps de bien la regarder, la décoration. Ce fut long.
LA TABLE DES CORDELIERS
Non? Si: seconde place sur le site TripAdvisor. Ahahah (rire nerveux). 2ème sur 124 établissements à Salon! Le 1er étant un camion à pizza! J’vous jure! Quelle poilade ce site de restaurants… dont les avis sont pourtant suivis avec avidité par tant d’affamés avisés.
LE JARDIN DES LILAS
LE JARDIN DES LILAS, restaurant à Greoux-les-bains - Quand on tombe sur cette petite maison assise dans son jardin caché dans une petite rue à proximité de tout puisqu’au presque centre-village, on se demande comment être passé aussi longtemps à côté sans l’avoir remarquée.
LA MAIN A LA PÂTE
L’emplacement habile au centre-village augure du bon plan, comme au détour d’une ruelle génoise. On entre dans la séduisante nasse, heureux et avec un sourire éclairé par les couleurs chaleureuses des trattorias italiennes, on en sort largement ponctionné de la bourse et miné du moral.
LE CAFÉ DU SOLEIL
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’INSTANT GOURMAND
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
SHARLOTTE’S CAFÉ
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ABRI-CÔTIER
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
RESTAURANT LE NOHMA LE DOMAINE DE MANON
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ESTIVE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
O GAUDINA
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA CASA NOSTRA
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LES SAVEURS DU GABON
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE PETIT BOIS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE CHAROL’S
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
KREP AND CO
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’ESTANCO
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
SUSHI CITY’S
Dans cette interminable zone de commerces en file indienne de chaque côté de la Nationale 7, il n’est pas compliqué d’être au-dessus des autres restaurants. Suffit d’être au 1er étage, comme lui. Le patron n’y fait pas deux choses à la fois. Encaisser un client et dire bonjour à celui qui entre. Un bonjour même furtif, ça permet de patienter quand il reste debout, le client.
LA TRATTORIA
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA FABRIQUE
Boutique pas grande, ça doit se bousculer en saison. Déco de bric et de broc, entre fin de stock, grenier de mémé, fond de tiroir et récup’ adroite. Ardoise avec 3 entrées, 6 plats, 4 desserts et un fromage. Détail: la tapenade de l’apéro est trop salée. Arrive le foie gras poêlé aux fruits de saison et son pain d’épices…
LE SAINT-AMOUR
Superbe village, curieux aussi. On se situe proche de l’eau, mais bien peu de signes le démontrent car c’est tout plat partout, emmuré, comme un nombril obligé. Pas d’œil à l’eau, quoi. L’affluence touristique de fin octobre est surprenante, un peu comme si l’été sera chaud mais c’est bientôt l’hiver.
OLIVADORS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE CLOS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA MAGIE DES SENS LA CHOCOLATERIE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
EL PUEBLO
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE 126
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA PERGOLA
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
TOUTE UNE ÉPOQUE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA GRANGE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
RESTAURANT L’ANGÈLE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE BLANC MANGER
A l’écart de la ville, maison au charme de cabanon tropical de standing. Végétation, grandes ouvertures et sol de bois exotique. Le soir les recoins enchanteurs et l’éclairage en ajoute au sentiment d’évasion.
LE TIRE-BOUCHON
La cuisine ménage la chèvre et le chou, coincée entre désir de faire gober du « folklo tradi » au client en attente de lyonnaiseries, et exercice de tape à l’œil.
CAFÉ DU MIDI
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
BUSAN
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE SQUARE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
CHINA MOON
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE JUNGLE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA TERRASSE DE CÉCILE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE PASTRÉ
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
L’OUSTAOU
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA TABLE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
CÔTÉ PLACE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LES CANAILLES
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LE MAS DE L’EAU VIVE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
O’SIGN
Dans ce restaurant, brasserie, café, lounge au bout de la rue Nat’, il y a bien une formule du jour à 15€. Sauf qu’avec Mauricette, on est curieux de voir comment fait un cuisinier pour sortir 15 entrées et plats avec ses seules petites mains.
LE PISTOU
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA FOLIE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA PETITE CHAPELLE
Terrasse estivale façon bonne franquette, service très franquette aussi avec des intermittents du spectacle qui se chamaillent entre eux et vous font asseoir sur des chaises de camping devant des sets en papier dans de grands airs maniérés en voulant faire croire que le moment sera exceptionnel
LA TABLE PROVENÇALE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
YACHT CLUB DE TOULON
LE CLUB HOUSE
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LA GUINGUETTE
ici le personnel sourit à pleines dents! Dehors un long barnum pour abriter les tonsures, barnum épaulé par une armée de platanes sous lesquelles s’alignent des tables bien rangées, fanions et guirlandes aux lampes multicolores, une jolie ambiance de congés payés en bord de Saône…
LE PASSAGE
On m’avait parlé d’un restaurant à peu-près récent, planqué dans une rue à deux pas du strict port où s’empilent une clientèle déprimante qui alignée en rang d’oignons se crame l’épiderme en bouffant n’importe quoi à n’importe quel prix, comme hypnotisée devant le panorama des bateaux.
L’INDÉCIS
LES ARCHIVES DU BAO
ce texte n'est plus mis à jour
LES GARÇONS
On n’y vient pas souvent et plutôt moins dans ce magnifique village penché sur l’eau qui se planque à l’ombre de Nice. C’est même un des préférés du littoral de Mauricette. Qui malgré son physique ingrat s’y connait en esthétique.
LE PETIT PORT
Une sacrée belle surprise à fleur de Dombes et en bord de Saône, terre à grenouilles. Enfin eau à grenouilles. Enfin les deux. Le genre est tellement piraté par le congelé qu’on n’y croyait plus. Alors qu’ici contre vents et marées et avec l’aide d’un fournisseur, on batifole dans l’incroyable: des grenouilles fraiches.