Totalement et les pieds joints dans la caricature du restaurant calé dans « les prix du marché » qu’il contribue à tirer vers le bas! Indexé sur le cours du ticket-resto! Et des promos du moment des fournisseurs! Autrement dit marge réduite et on se rattrape sur le volume en espérant l’avoir! Sauf que celle-là de boutique, elle fait des efforts en cuisine! Plus de plats du jour, kefta au bœuf! J’aurais pas pris de toutes façons! Alors entrée « brick de chèvre » un peu grasse, cubes de tomates, lardons poêlés mais froids. Ensemble copieux, je comprends mieux le taux élevé de remplissage en clientèle de la terrasse 14/20. Mon plat: « entrecôte risotto ». Sûr que vu les tarifs, la viande n’est pas de la Salers. Un peu dure, mais servie saignante comme demandée. Le risotto cerclé est maladroit, délié et beaucoup trop cuit. M’épargner des sempiternelles frites et le meilleur des compliments que je peux faire sur l’assiette. 12/20. Les desserts ne m’intéressent pas, sauf la mousse au chocolat mais le stock est épuisé. Alors rien. Serveuse volontaire qui déplace les tables pour optimiser le rendement au mètre carré, l’œil sévère du patron en débardeur veille au grain, cuisine ouverte avec plusieurs affairés: ça ne chôme pas! Bilan? Assiette généreuse, habitués en nombre. Pour 13,80€ avec le café, la maison ne se débrouille pas trop mal d’autant que le choix des plats est étendu. Trop?