Antico Mulino restaurant Saint-Rémy-de-Provence - Mauricette ne voulant pas louper la météo d’Evelyne Dhéliat sur TF1, fallait manger tôt dans la soirée. Lui n’ouvrait pas avant 30 minutes, mais le four était allumé tandis que l’ensemble du personnel fignolait la mise en place pour le service du soir. Bon. Le pizzaiolo, ça l’a visiblement un peu gonflé de commencer à tripoter le pâton avant l’horaire syndical mais le jovial patron lui, non: “tenez, asseyez-vous en terrasse et choisissez”. L’occasion de zieutez l’intégralité de la carte d’inspiration italienne. Entrées de 10€ (bruschetta) au plateau de charcuteries à 24€, pâtes de 17€ à 26€, milanaise, espadon grillé… et puis la “pizza artisanale” avec selon les impétrants du lieu, farine bio et tomates bio.
Ça doit autoriser les tarifs à tabasser le nourrain du client: de 10€ à 21,50€. Du coup, on vise la pizza Sarde: sauce tomate bio, fleur de lait frais, saucisson sec sarde, pecorino sarde, olives taggiasche. Pas mal non? Sauf que la pâte n’est absolument pas levée et sèche, les rondelles de saucisses transpirent, le coulis rame. Mon envie est bien présente mais à voir le truc, ma gourmandise est absente.
C’est une déception, du grand moyen qui joue grand genre. 12/20 pour 15€ sur place, mais 12,5€ emportée. Voilà cabossée la possibilité de revenir s’y taper un repas en bonne forme, goûter par exemple les véritables carbonara au guanciale ou les linguines aux carabineros, ses magnifiques gambas rouges qu’il faut avoir goûté une fois (tête compris), en tout cas celles des côtes espagnoles. Jolie terrasse en impasse-ruelle à un jet d’olive de la mairie. Mais j’y pense. Si ça se trouve, le pizzaiolo a flingué volontairement ma pizza, pour me montrer qui c’est le patron ou bien, qu’avant l’heure, c’est pas l’heure.
Antico Mulino restaurant Saint-Rémy-de-Provence - Mauricette ne voulant pas louper la météo d’Evelyne Dhéliat sur TF1, fallait manger tôt dans la soirée. Lui n’ouvrait pas avant 30 minutes, mais le four était allumé tandis que l’ensemble du personnel fignolait la mise en place pour le service du soir. Bon. Le pizzaiolo, ça l’a visiblement un peu gonflé de commencer à tripoter le pâton avant l’horaire syndical mais le jovial patron lui, non: “tenez, asseyez-vous en terrasse et choisissez”. L’occasion de zieutez l’intégralité de la carte d’inspiration italienne. Entrées de 10€ (bruschetta) au plateau de charcuteries à 24€, pâtes de 17€ à 26€, milanaise, espadon grillé… et puis la “pizza artisanale” avec selon les impétrants du lieu, farine bio et tomates bio.
Ça doit autoriser les tarifs à tabasser le nourrain du client: de 10€ à 21,50€. Du coup, on vise la pizza Sarde: sauce tomate bio, fleur de lait frais, saucisson sec sarde, pecorino sarde, olives taggiasche. Pas mal non? Sauf que la pâte n’est absolument pas levée et sèche, les rondelles de saucisses transpirent, le coulis rame. Mon envie est bien présente mais à voir le truc, ma gourmandise est absente.
C’est une déception, du grand moyen qui joue grand genre. 12/20 pour 15€ sur place, mais 12,5€ emportée. Voilà cabossée la possibilité de revenir s’y taper un repas en bonne forme, goûter par exemple les véritables carbonara au guanciale ou les linguines aux carabineros, ses magnifiques gambas rouges qu’il faut avoir goûté une fois (tête compris), en tout cas celles des côtes espagnoles. Jolie terrasse en impasse-ruelle à un jet d’olive de la mairie. Mais j’y pense. Si ça se trouve, le pizzaiolo a flingué volontairement ma pizza, pour me montrer qui c’est le patron ou bien, qu’avant l’heure, c’est pas l’heure.