SAPORI DI NAPOLI
Comme elle avait zieuté les vitrines, la dame au chapeau vert excitée comme une puce vise mozza panée. Un lit de mélange de salade écrasée par une sorte de galette marron à l’odeur de friture dure comme du plastique.
Comme elle avait zieuté les vitrines, la dame au chapeau vert excitée comme une puce vise mozza panée. Un lit de mélange de salade écrasée par une sorte de galette marron à l’odeur de friture dure comme du plastique.
Entre préfecture et Castellane, rue Edmond Rostand, entre Rome et Paradis, une histoire d’entre puisque cet établissement est à mon avis entre deux eaux. Vu le décorum et l’ambition affichés, je m’attendais à beaucoup mieux mais ça aurait pu être pire aussi. L’épicerie ibérique du début écarte désormais les coudes dans le local mitoyen transformé pour la cause…
Né début juillet 2017. Dans le quartier du Mourillon, aucun inconnu au bataillon à se fourrer sous la canine sinon lui alors bon. Faut dire qu’on est lundi. Et lundi c’est… c’est… bravo! Ravioli!
Un froid de canard. Dedans aussi. La serveuse porte sa grosse veste. Pourtant elle bouge un peu. Moi je suis figé devant le petit comptoir et la mignonne vitrine avec charcuteries et fromages corses. Faut dire que la boutique fait aussi épicerie, alimentation, cave à vins, traiteur à emporter etc. J’ai froid. Enfin bon. Je pigerais jamais la raison pour laquelle un restaurateur ne met pas de chauffage dans sa boutique quand il fait aussi froid! Ça coûte trop cher? Ah bah voui, mais si t’as pas de clients parce que ça caille, c’est ballot non? Bref! Plat du jour+ dessert+café à 15€! Une omelette au brocciu! L’ardoise: une douzaine de possibilités dont un magret de froid de canard à 22€, sauté de veau aux olives 16€, camembert au four 19€ (boum), figatelli à la plancha 18€ (paf)…